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20 novembre 2013 3 20 /11 /novembre /2013 09:35

Réunion mensuelle programmée le 21 novembre 2013

 

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A cause de mauvais virus, réunion ANNULEE

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18 novembre 2013 1 18 /11 /novembre /2013 14:40

 

Utopie d'hier, révolution d'aujourd’hui, réalité de demain?

 

A Caumont, c ’est  déjà  «presque déjà demain»! 

 

 

La première «mutuelle de village» de France a été créée 19 septembre 2013 à Caumont-sur-Durance (Vaucluse), à l'initiative de Véronique Debue, adjointe aux affaires sociales et vice-présidente du centre communal d'action sociale (CCAS).

 

«Le CCAS a eu à examiner des demandes d’aides d’habitants qui ne bénéficiaient ni de la CMU ni d’une mutuelle parce qu’ils n’avaient pas les moyens d’en souscrire une» détaille-t-elle. En France, 4 millions de personnes seraient sans couverture d’une mutuelle. L’idée de négocier une mutuelle groupée, et donc moins chère, a germé à l’automne dernier. Sans participation financière du CCAS, il faut le souligner : on n’est pas dans le cas d’une mutuelle d’entreprise…

Consultation des habitants - Le CCAS a alors pris le dossier en main et lancé une consultation des habitants et leur a adressé un questionnaire pour savoir si cette proposition répondait à leurs besoins et s’ils étaient prêts à adhérer à la mutuelle retenue ou à changer de mutuelle. En huit mois, 205 foyers ont manifesté leur accord de principe.

 
Comité de pilotage - Un comité de pilotage a alors été chargé de « démarcher » les mutuelles puis d’examiner leurs propositions : outre Véronique Debue (qui se définit comme « une citoyenne indignée, plus qu’une élue indignée »), il comprenait deux membres du CCAS, un dentiste, un pharmacien, un prothésiste auditif, un kinésithérapeute, une infirmière libérale, une secrétaire médicale, un cadre de l’industrie retraité, un retraité de l’éducation nationale, un étudiant en commerce, un journaliste, une avocate, le directeur des services de la mairie. Douze mutuelles ont été passées au crible, tarifs et prestations. Par écrémages successifs, une a été retenue, notamment pour le plus qu’elle a promis : des permanences à Caumont.

 

 

 Lire l'article: Ils en ont parlé au « 13 heures » de  Jean-Pierre Pernaut   sur Rue 89 / Le Nouvel Observateur

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17 novembre 2013 7 17 /11 /novembre /2013 21:12
Discussion avec Sébastien Fontenelle

Mercredi 20 novembre, à 19 h,

 

CQFD et l’Equitable Café de Marseille vous invitent à une discussion avec Sébastien Fontenelle, auteur de Poste stressante (Seuil, 2013).

 

Que se passe-t-il à La Poste ? Comment expliquer – et arrêter – une série de suicides dont sont victimes les employés de cet ancien service public, si aimé des Français, devenu une entreprise privée qui ne s’intéresse plus qu’à sa rentabilité ?

 

À l’Équitable café. 54, cours Julien, Marseille 6e.

 

Deux discours s’opposent sans jamais s’entendre. Pour la direction, il ne s’agit là que de « drames personnels et familiaux »,dans lesquels « la dimension du travail est inexistante ou marginale ». Des accidents, en quelque sorte, dont s’emparent des syndicats « qui veulent couler La Poste ». Pour ces derniers, au contraire, le traitement stressant infligé à ses salariés, la destruction de près de 80 000 emplois depuis dix ans, la réorganisation permanente exigée par un management sourd à toutes les sonnettes d’alarme, ont mis en danger, et en grande souffrance, tous ceux qui subissent depuis maintenant des décennies la « nécessaire modernisation des PTT ».

 

Illustration de Rémi. {JPEG}


L’enquête de Sébastien Fontenelle révèle la gravité de la situation. En confrontant aux faits la parole de chacun, et en rappelant l’histoire d’un démantèlement qui a pris la valeur d’un symbole – celui des plus désastreuses conséquences de l’économie néolibérale –, il établit la responsabilité des dirigeants successifs,mais aussi des politiques, à commencer par les socialistes. Un terrible gâchis humain, que les salariés sont les seuls à payer. Parfois de leur vie.

 

Pétition en ligne>>>>: Suicide à La Poste: brisons le tabou !

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 14:00

"Dis,  d'abord pourquoi Papa, on ne l'a verra pas

 Cet'  petite vidéo, sur nos chaîn's de Téloch'  ? "

 



 

 

oi Papa, on ne l'a verra pas

 Cett'  petite vidéo, sur nos chaîn's de Téloch'  ? "

tite vidéo, sur nos chaîn's de Téloch'  ? "

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 13:30

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12 novembre 2013 2 12 /11 /novembre /2013 17:47

LP.JPGLe nouveau patron de la CGT - interviewé  par Par Cécile Crouzel du figaro.fr ,publié le 11/11/2013 -  s'en prend vertement au gouvernement, au patronat et à la CFDT. 

 

LE FIGARO. - Les syndicats, dont la CGT, sont absents des mouvements actuels de contestation. Pourquoi?

 

Thierry LEPAON. - L'efficacité du syndicalisme se mesure d'abord dans l'entreprise. Ensuite, il y a dans la période un effet de curiosité médiatique. La manifestation des «bonnets rouges» à Quimper, c'est nouveau. Le rassemblement de Carhaix, mené par la CGT, Solidaires et Sud, a été moins relayé par les médias. Mais sur le fond, le fait que les organisations syndicales n'aient pas une démarche unitaire sur les questions de l'emploi n'aide pas. Les patrons, eux, sont unis. Ce sont eux qui ont inspiré la manifestation des «bonnets rouges». Ils ont un discours identifié: ils réclament la baisse des cotisations sociales, en demandant le maintien des aides qu'ils reçoivent! La lettre de Pierre Gattaz s'engageant à créer un million d'emplois en cinq ans si les dépenses publiques baissent et si les cotisations sociales sont transférées sur d'autres impôts est pour nous une déclaration de guerre.

 

Comment comptez-vous réagir?

Le comité CGT de Bretagne a travaillé pour bâtir une démarche unitaire. Le 23 novembre, il y aura une manifestation à laquelle participeront toutes les organisations syndicales, à l'exception de la CFE-CGC. Mais la crise n'est pas qu'en Bretagne. Actuellement, il y a 10 plans sociaux et 1000 chômeurs de plus par jour en France! 70 % des salariés français estiment que les conditions pour bien faire leur travail ne sont pas réunies. Et puis, il y a les suicides au travail. Le climat est très tendu, c'est explosif partout. Face à cela, nous avons lancé une campagne bâtie sur un triptyque: les salaires, l'emploi et la protection sociale. Car tout est lié.

 

Mais pourquoi les salariés ne se mobilisent pas?

Le chômage fait peur, les salariés se replient sur eux-mêmes. C'est à nous d'aller à leur rencontre pour les remobiliser.

 

Le problème ne vient-il pas du fait que le motif de la fronde actuelle - le «ras-le-bol fiscal» - n'est pas compris par les syndicats?

Le «ras-le-bol fiscal» cristallise le mécontentement. J'entends des gens qui s'en plaignent, alors qu'ils ne payent pas d'impôt! Mais le vrai problème, c'est le pouvoir d'achat. À un moment, les salariés verront aussi que cela irait mieux si les rémunérations n'étaient pas bloquées comme elles le sont depuis trois ou quatre ans. Les fonctionnaires vont subir la quatrième année de gel. Et les salaires n'augmentent plus, même dans les entreprises qui vont bien. À un moment, la colère va s'exprimer par un «on veut gagner plus». Voilà pourquoi on a demandé au gouvernement d'ouvrir des négociations nationales sur les salaires, et notamment sur la question du smic, ainsi que sur l'emploi. Nous voulons discuter de l'efficacité en termes d'emploi du crédit d'impôt compétitivité emploi et des 200 milliards d'euros d'aides et exonérations que touchent les entreprises.

 

Avez-vous le sentiment d'être entendu par le gouvernement?

Non. Il y a deux poids deux mesures: il ne fait qu'écouter le patronat sans être récompensé. Plus il cède aux revendications des patrons, plus ils revendiquent! Il n'y a pas non plus de traitement égalitaire entre les organisations syndicales. La CFDT est ultraprivilégiée. Cela révèle un dysfonctionnement de ce gouvernement.

 

Êtes-vous déçu par l'équipe Ayrault?

C'est peu de le dire. Ce que je leur reproche, c'est de ne pas traiter les questions sociales qui sont pourtant urgentes. Entre ce qu'ils disaient quand ils étaient dans l'opposition ou en campagne, par exemple sur les retraites, et ce qu'ils font aujourd'hui, il y a un gouffre. Ce décalage entre les paroles et les actes nous mène dans le mur. Dans ce gouvernement, on ne sait pas qui fait quoi et on est en début de mandat! Où sont passées les réformes de fond promises pendant la campagne: la réforme fiscale, la décentralisation? Quelles sont les priorités de l'exécutif? Ça pèche par manque de responsabilité et d'innovation. Nous sommes face à une crise du politique, qui n'est pas nouvelle, mais qui s'aggrave.

 

N'y a-t-il pas aussi une crise de la CGT, qui n'a pas proposé d'idées fortes depuis longtemps?

Nous avons fait de nombreuses propositions sur les retraites. S'il y a eu des avancées en termes de pénibilité, d'égalité hommes-femmes et de prise en compte des années d'études, la CGT y est pour beaucoup. Mais c'est vrai que la CGT était plus efficace il y a quelques années pour lancer de nouvelles idées. À l'époque, quand on avançait une proposition, on l'accompagnait d'une action sur le terrain. Je veux revenir à cet engagement militant. On va lancer de cette façon le débat sur le coût du capital. Le travail est-il un coût, ou une richesse? C'est aussi une question essentielle. II faut que la CGT s'exprime à nouveau sur les questions économiques. C'est pour cela que j'ai créé un pole économie dans le nouvel organigramme. Nous avons les ressources internes et une trentaine d'experts extérieurs travaillent avec nous.

 

Vous avez mis huit mois à définir ce nouvel organigramme. N'est-ce pas le signe d'un flottement à la CGT?

Non. D'abord si l'on enlève la période des congés d'été, cela fait cinq mois. Cinq mois pour bien établir une nouvelle organisation, c'est rapide! Nous sommes maintenant en ordre de marche.

 

Comptez-vous mener d'autres actions contre la réforme des retraites?

Oui. Nous avons prévu une journée d'action le 19 novembre, puis des rassemblements devant l'Assemblée et les préfectures, lorsque les députés voteront le texte.

 

Et sur le travail du dimanche?

Nous attendons les résultats du rapport Bailly. Sur le fond, notre position est claire. Le travail atypique - le dimanche, de nuit - ne doit avoir lieu que lorsqu'il est nécessaire: dans la santé, les services publics, certaines industries… Vendre du parfum après 21 heures sur les Champs-Élysées, ouvrir les magasins de bricolage le dimanche, ce n'est pas nécessaire. Les Français disent vouloir des magasins ouverts le dimanche, mais ils ne veulent pas travailler ce jour-là! Sur ce sujet, nous faisons là aussi face à une campagne du patronat, qui paye les salariés pour manifester mais aussi des affiches et des cabinets de communication. La ficelle est grosse! Elle va finir par se voir.

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 23:21

Le taux de TVA actuellement fixé à 7% sur les transports collectifs et ferroviaires va augmenter à 10% dès janvier 2014.

A cette hausse de TVA s'ajoutera la hausse annuelle des tarifs SNCF (habituellement supérieure à l'inflation)

 

Alors qu'il faut développer et promouvoir les transports en commun pour éviter la pollution et l’engorgement des villes par les voitures, cette nouvelle hausse de la TVA sur les transports collectifs n’est pas acceptable. Elle était déjà passée de 5,5% à 7% en janvier 2012 avec le gouvernement précédent.

 

Il s'agit d'un nouveau coup porté au pouvoir d'achat des usagers du rail qui subissent depuis de nombreuses années déjà la dégradation de leurs conditions de transport, largement condamnée par leurs associations et collectifs d'usagers.

 

Nous utilisons les transports en commun ..... Nous considérons qu’il s’agit là d’un service de première nécessité !

 

A ce titre le taux de TVA réduit à 5% doit donc être appliqué pour tous les transports collectifs et en particulier les transports ferroviaires.

 

Nous refusons également toute augmentation des tarifs ferroviaires pour 2014.

Le Gouvernement doit écouter la colère des usagers.

 

  Signez la Pétition adressée à :
 

 

Jean-Marc Ayrault, Premier Ministre
Frédéric Cuvillier, Ministre des Transports
Pierre Moscovici, Ministre de l'Economie et des Finances
Bernard Cazeneuve, Ministre du budget

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8 novembre 2013 5 08 /11 /novembre /2013 21:43

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Source L'Hérault du Jour (La Marseillaise) du 30 octobre 2013

 

*

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7 novembre 2013 4 07 /11 /novembre /2013 18:40

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En savoir plus en lisant l'article sur le site de l'USR CGT 13

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26 octobre 2013 6 26 /10 /octobre /2013 09:00

 Le GIP*  Info retraite a publié sur son site un guide que vous pouvez voir ci-dessous.

 Sur le site, vous pouvez également faire des simulations de calcul quel que soit votre régime.( pratique pour les non Postiers)

 

CSRHS Lannion

 

Les fonctionnaires de La Poste  peuvent continuer

à consulter le SITE de LANNION 

 

 

 

 

 

Voir le guide du GIP Sans-titre0-copie-1.JPG

 

 

*Composition et instances du GIP : Créé par la loi du 21 août 2003 et installé officiellement le 5 juillet 2004, le groupement d'intérêt public (GIP) Info Retraite regroupe l'ensemble des organismes de retraite obligatoire (régimes de base et régimes complémentaires).Le GIP Info Retraite coordonne l'action des différents régimes en vue d'assurer la mise en œuvre du droit individuel des assurés à l'information sur leur retraite.

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Retraités Cgt Poste 13

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55 Avenue de La Rose
La Brunette Bt extérieur D
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TEL : 04.91.11.60.95 - FAX : 04.91.02.69.69       

Courriel : retraites.cgtposte13@hotmail.fr

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